ArticlesL. 131-3, L. 131-4 et R. 131-6 du code de la recherche ; article 10 de la loi n° 83-675 du 26 juillet 1983 ; décret n° 59-587 du 29 avril 1959. Agence de maßtrise d'ouvrage des travaux du ministÚre de la justice: Directeur général: x Articles 9 et 14 du décret n° 2006-208 du 22 février 2006. Président: x Agence de services et de paiement: Président-directeur général x
Lorsque vous envisagez l'instruction avec le CNED, alors vous avez 2 possibilitĂ©s Les dĂ©marches sont modifiĂ©es par l'article 49 de la loi du 24 aoĂ»t 2021 confortant le respect des principes de la RĂ©publique. le CNED libre avec obligation de demander une autorisation prĂ©alable pour votre enfant de l'instruire dans la famille lorsque son Ăąge est compris entre 3 et 16 ans. ConformĂ©ment Ă  l'article L131-5 et L131-10 du code de l'Ă©ducation, si votre enfant Ă  moins de 16 ans et qu'il est inscrit au CNED Libre, alors une demande d'autorisation prĂ©alable d'instruction dans la famille doit ĂȘtre rĂ©digĂ©e Ă  l'attention de la directrice acadĂ©mique de la Haute Savoie avant le 31 mai 2022 accompagnĂ© du CERFA dĂ»ment complĂ©tĂ© et signĂ© disponible sur le site Service public voir "instruction Ă  domicile" ci-dessous; le CNED en classe les seuls les motifs ci-dessous raison mĂ©dicale, situation de handicap, itinĂ©rance de la famille, sportif de haut niveau, activitĂ© artistique, Ă©loignement gĂ©ographique, Il convient dans ce cas Ă©galement de demander une autorisation prĂ©alable par le biais des CERFA accessible sur le site service public et Ă  adresser avant le 31 mai 2022 dĂ»ment complĂ©tĂ© et signĂ© Ă  la DSDEN. Les demandes sont Ă©tudiĂ©es sous rĂ©serve de justificatifs permettant d'apprĂ©cier le fait que le motif Ă©voquĂ© est non conciliables avec une scolaritĂ© complĂšte dans une Ă©cole ou un Ă©tablissement d'enseignement comme le prĂ©cise l'article R 426-2-1 du code de l' les enfants dĂ©jĂ  instruits en CNED rĂ©glementĂ©, il convient pour l'annĂ©e Ă  venir de demander une autorisation prĂ©alable d'instruction en famille selon le CERFA adaptĂ© mais aussi un avis favorable en justifiant du motif Ă©voquĂ©. Ces demandes doivent ĂȘtre transmises par courrier postale Ă  l'adresse suivanteDSDEN 74 - Service scolaritĂ© - 7 rue Dupanloup - 74040 ANNECY Cedex Pour rappel, les documents mĂ©dicaux relĂšvent du secret professionnel et sont Ă  fournir sous pli cachetĂ© Ă  l’attention du MĂ©decin Conseiller Technique. De plus, un courrier explicatif du mĂ©decin spĂ©cialiste qui suit l’enfant et non un simple certificat mĂ©dical "l’état de santĂ© de X justifie ..." est nĂ©cessaire. Les coordonnĂ©es du mĂ©decin doivent apparaitre clairement. Si l’enfant souffre d’un refus anxieux de l’école, vous devrez fournir un courrier du mĂ©decin pĂ©do-psychiatre qui assure son suivi. Les demandes d'inscription au CNED en classe rĂ©glementĂ©e relevant d'un motif pour convenance personnelle feront l'objet d'un avis dĂ©favorable et d'une non dĂ©livrance d'autorisation prĂ©alable. Pour avoir des informations complĂštes sur la scolaritĂ© via le CNED, vous pouvez consulter le site du CNED ou joindre la relation service client au Instruction Ă  domicile La loi du 24 aoĂ»t 2021 confortant le respect des principes de la RĂ©publique modifie les modalitĂ©s d'accĂšs Ă  l’instruction en famille. La dĂ©claration annuelle est remplacĂ©e par une demande d'autorisation prĂ©alable. Cette demande est Ă  formuler auprĂšs de la directrice acadĂ©mique selon les CERFA disponible sur le site service public avant le 31 mai 2022. En cas de changement de rĂ©sidence durant l'annĂ©e scolaire, il vous appartient de le dĂ©clarer, dans un dĂ©lai de huit jours, Ă  l'IA-DASEN du nouveau dĂ©partement. A rĂ©ception, sous rĂ©serve d'une demande d'autorisation complĂšte reçue au plus tard le 31 mai 2022, l'IA-DASEN Ă©tudie le dossier et notifie sa dĂ©cision par recommandĂ© avec accusĂ© de rĂ©ception dans un dĂ©lai de 2 mois. ConformĂ©ment Ă  l'article L. 131-10 du code de l'Ă©ducation, l'instruction dans la famille donne lieu Ă  une enquĂȘte diligentĂ©e par le maire. un contrĂŽle pĂ©dagogique menĂ© par l'inspecteur de l'Ă©ducation nationale pour le 1er degrĂ© ou par l'inspecteur acadĂ©mique pour le 2nd degrĂ©.
AutoritĂ©sne relevant pas du statut gĂ©nĂ©ral des autoritĂ©s administratives indĂ©pendantes; Entreprises. Tableaux et chronologies des dates communes d'entrĂ©e en vigueur; Norme Afnor L’éducation c’est la famille qui la donne ; l’instruction, c’est l’Etat qui la doit 
 ces deux lumiĂšres se complĂštent l’une par l’autre » disait Victor Hugo. Les lois instituĂ©es par Monsieur Jules Ferry en 1881 et en 1882 ont actĂ© le triptyque suivant l’école est obligatoire, gratuite et laĂŻque ». Il faut comprendre que ce n’est pas la scolarisation qui est obligatoire mais bien l’instruction. Ainsi l’instruction en famille ou l’école Ă  la maison est tout Ă  fait possible. Cependant, ce droit est de plus en plus rĂ©duit par le lĂ©gislateur. A l’approche de la rentrĂ©e 2022 il apparait important d’éclaircir les Ă©volutions. I- L’instruction en famille une simple modalitĂ© du droit Ă  l’instruction. A Un droit Ă  l’instruction assurĂ© en principe par l’Etat. L’instruction obligatoire implique l’obligation faite aux parents de faire instruire leurs enfants. Cette obligation est impĂ©rative. L’instruction obligatoire a pour objectif de garantir, d’une part, l’acquisition des instruments fondamentaux du savoir, des connaissances de base, des Ă©lĂ©ments de la culture gĂ©nĂ©rale et, selon les choix, de la formation professionnelle et technique et, d’autre part, l’éducation lui permettant de dĂ©velopper sa personnalitĂ©, son sens moral et son esprit critique, d’élever son niveau de formation initiale et continue, de s’insĂ©rer dans la vie sociale et professionnelle, de partager les valeurs de la RĂ©publique et d’exercer sa citoyennetĂ© » [1]. L’article L111-1 du Code de l’éducation proclame un principe de devoir d’instruction, que l’on retrouve dans le bloc de constitutionnalitĂ© et notamment au treiziĂšme alinĂ©a du PrĂ©ambule de la Constitution de 1946 qui Ă©crit que La Nation garantit l’égal accĂšs de l’enfant et de l’adulte Ă  l’instruction, Ă  la formation professionnelle et Ă  la culture. L’organisation de l’enseignement public gratuit et laĂŻque Ă  tous les degrĂ©s est un devoir de l’Etat ». Le principe du droit Ă  l’éducation et l’accĂšs de tous Ă  l’instruction est inscrit au sein du premier article du Code de l’Education qui Ă©crit que Le droit Ă  l’éducation est garanti Ă  chacun afin de lui permettre de dĂ©velopper sa personnalitĂ©, d’élever son niveau de formation initiale et continue, de s’insĂ©rer dans la vie sociale et professionnelle, d’exercer sa citoyennetĂ© » [2]. Cette instruction obligatoire est encadrĂ©e par l’article L131-1 et suivants du Code de l’éducation et dispose depuis l’entrĂ©e en vigueur de la loi pour une Ă©cole de la confiance que L’instruction est obligatoire pour chaque enfant dĂšs l’ñge de trois ans et jusqu’à l’ñge de seize ans ». Le principe de libertĂ© d’enseignement est un des corollaires du droit Ă  l’instruction en famille. Celui-ci a notamment Ă©tĂ© reconnu par le Conseil Constitutionnel, dans sa dĂ©cision 77-87 du 23 novembre 1977. En outre, le Conseil d’Etat a jugĂ©, dans sa dĂ©cision du 19 juillet 2017, Association Les enfants d’abord, n°406150 que Le principe de la libertĂ© de l’enseignement, qui figure au nombre des principes fondamentaux reconnus par les lois de la RĂ©publique, implique la possibilitĂ© de crĂ©er des Ă©tablissements d’enseignement, y compris hors de tout contrat conclu avec l’Etat, tout comme le droit pour les parents de choisir, pour leurs enfants, des mĂ©thodes Ă©ducatives alternatives Ă  celles proposĂ©es par le systĂšme scolaire public, y compris l’instruction au sein de la famille ». Ce droit est ainsi protĂ©gĂ© Ă  la fois au plus haut niveau sur le plan du droit national mais aussi au niveau international. L’Etat est donc dĂ©biteur d’une obligation positive qui consiste Ă  permettre Ă  chaque enfant de pouvoir bĂ©nĂ©ficier d’une instruction. En principe, c’est l’Etat qui se charge de cette instruction et qui prend en charge le coĂ»t de cette derniĂšre. B Un droit Ă  l’instruction adaptĂ© par exception par les parents. Le nombre d’enfants instruits Ă  la maison est en hausse. Ainsi on comptait un peu plus de 35 000 enfants faisant Ă©cole Ă  la maison en 2017. En 2020 ce chiffre Ă©tait passĂ© Ă  plus de 50 000 Ă©lĂšves en 2020. L’instruction en famille constitue un corolaire de la libertĂ© d’enseignement. C’est une modalitĂ© de mise en Ɠuvre du droit Ă  l’instruction. Ce droit Ă  l’instruction fait toutefois l’objet d’un contrĂŽle de l’Etat qui peut mĂȘme donner lieu Ă  des infractions pĂ©nales dans l’hypothĂšse oĂč les mineurs ne seraient pas scolarisĂ©s [3]. Le droit Ă  l’instruction en famille n’existe pas dans tous les pays, lesquels ont donc une grande marge de manƓuvre pour sa mise en Ɠuvre. Ainsi la Cour EDH recense notamment le fait que si la pratique des Etats diffĂšre sur l’instruction Ă  domicile, l’article 2 du protocole additionnel n°1 Ă  la Convention de sauvegarde des droits de l’homme et des libertĂ©s fondamentales implique pour ledit Etat le droit d’instaurer une scolarisation obligatoire, qu’elle ait lieu dans les Ă©coles publiques ou au travers de leçons particuliĂšres de qualitĂ© et que la vĂ©rification et l’application des normes Ă©ducatives fait partie intĂ©grante de ce droit » [4]. En d’autres termes, les Etats ont une marge d’apprĂ©ciation leur permettant de juger eux-mĂȘmes les modalitĂ©s pratiques de l’instruction des enfants. Cette libertĂ© est donc consacrĂ©e mais n’est pas absolue. II- L’instruction en famille une facultĂ© de plus en plus restrictive. Le droit Ă  l’instruction en famille peut donner lieu Ă  des difficultĂ©s pratiques de contrĂŽle par l’administration. Ce contrĂŽle a divers objectifs. Tout d’abord, s’assurer d’une rĂ©elle progression des enfants par rapport au niveau de connaissance qu’ils doivent acquĂ©rir, d’autre part, des Ă©ventuelles abus dont ces enfants peuvent faire l’objet dans le cadre interfamilial. Depuis le premier mandat du PrĂ©sident Emmanuel Macron, l’instruction en famille a fait l’objet de deux nouvelles lois. Ces lois ont encadrĂ© l’instruction en famille. A Rappel de l’ancien rĂ©gime de la dĂ©claration prĂ©alable. L’instruction en famille Ă©tait soumise, comme chaque inscription au sein d’un Ă©tablissement d’enseignement public ou privĂ©, d’une inscription prenant la forme d’une dĂ©claration annuelle d’instruction en famille auprĂšs du maire et Ă  l’autoritĂ© de l’Etat en matiĂšre d’éducation d’aprĂšs l’article L131-5 du Code de l’éducation. Cette obligation de dĂ©claration s’appliquait Ă  compter de la rentrĂ©e scolaire de l’annĂ©e civile, dĂšs lors que l’enfant atteignait l’ñge de trois ans. Il s’agissait d’une dĂ©claration, laquelle Ă©tait suffisante pour dĂ©buter. Des contrĂŽles Ă©taient bien entendues rĂ©alisĂ©es au cours de l’annĂ©e pour s’assurer des progrĂšs pĂ©dagogiques des enfants. Ainsi le reprĂ©sentant de l’Etat vĂ©rifiait que l’instruction ne dĂ©passait pas le cercle familial. En effet, l’instruction en famille n’est possible que pour un seul enfant ou, si plusieurs enfants sont concernĂ©s, seulement s’ils sont de la mĂȘme famille. Dans le cas contraire, il ne s’agit alors plus d’instruction en famille, mais d’un Ă©tablissement scolaire de fait, ne respectant pas les formalitĂ©s prescrites pour l’ouverture d’un tel Ă©tablissement. Ce n’est que si ces contrĂŽles rĂ©vĂ©laient des carences que les parents pouvaient se voir enjoindre l’obligation de rĂ©inscrire leurs enfants dans un Ă©tablissement scolaire. DĂ©jĂ  par une loi du 26 juillet 2019 une Ă©cole de la confiance », l’instruction en famille a vu les modalitĂ©s de son contrĂŽle renforcĂ©es. On constate diffĂ©rentes dynamiques concernant la loi pour une Ă©cole de la confiance L’abaissement de six Ă  trois ans de l’ñge de l’instruction obligatoire ; Le renforcement du contrĂŽle de l’instruction dispensĂ©e en famille. Le Conseil d’Etat a Ă©tĂ© saisi en ce sens le 22 octobre 2018 dudit projet de loi. Il a rendu un avis aux termes duquel il a considĂ©rĂ© que le choix du lĂ©gislateur de fixer Ă  trois ans l’ñge de l’instruction obligatoire et d’étendre la durĂ©e de celle-ci de dix Ă  treize ans, motivĂ© par l’objectif de renforcer l’égalitĂ© d’accĂšs Ă  l’acquisition de la langue orale et Ă©crite notamment pour les enfants issus des milieux les moins favorisĂ©s, de lutter le plus prĂ©cocement possible contre les risques ultĂ©rieurs de dĂ©crochage scolaire et d’affirmer l’identitĂ© pĂ©dagogique propre de l’école maternelle, contribue Ă  garantir les principes d’égal accĂšs Ă  l’instruction et de droit Ă  l’instruction » [5]. Ce mĂȘme projet de loi prĂ©voit que deux refus consĂ©cutifs de contrĂŽle pourront dĂ©boucher sur la mise en demeure des personnes responsables de l’enfant de l’inscrire dans un Ă©tablissement d’enseignement scolaire de leur choix. B Le rĂ©gime nouveau de l’autorisation prĂ©alable. La loi n°2021-1109 du 24 aoĂ»t 2021 confortant le respect des principes de la RĂ©publique, dite loi sĂ©paratisme, a modifiĂ© cet article. La loi du 24 aout 2021 dites loi contre le sĂ©paratisme a modifiĂ© l’état du droit pour la rentrĂ©e 2022. DorĂ©navant, pour qu’un enfant bĂ©nĂ©ficie de l’instruction en famille, il faudra que le Maire autorise prĂ©alablement celle ci. Cette loi entrera en vigueur Ă  partir de la rentrĂ©e 2022. DorĂ©navant L131-5 du Code de l’éducation indique L’instruction obligatoire est donnĂ©e dans les Ă©tablissements ou Ă©coles publics ou privĂ©s. Elle peut Ă©galement, par dĂ©rogation, ĂȘtre dispensĂ©e dans la famille par les parents, par l’un d’entre eux ou par toute personne de leur choix, sur autorisation dĂ©livrĂ©e dans les conditions fixĂ©es Ă  l’article ». DĂšs lors, le rĂ©gime envisagĂ© de maniĂšre antĂ©rieure, guidĂ©e par le principe de libertĂ© de l’instruction, va ĂȘtre rĂ©duit Ă  un rĂ©gime dĂ©rogatoire. Cependant, l’instruction en famille se trouve au centre de deux principes. D’une part, la libertĂ© d’enseignement. D’autre part, le droit Ă  l’instruction de chaque enfant. Le contrĂŽle se dĂ©roule en plusieurs phases. 1- L’enquĂȘte administrative incombant au maire. D’aprĂšs l’article L131-6 du Code de l’éducation, la premiĂšre partie du contrĂŽle concernant l’instruction obligatoire incombe au maire, qui est chargĂ© de dresser chaque annĂ©e, la liste de tous les enfants rĂ©sidant dans sa commune et qui sont soumis Ă  l’obligation scolaire. ConcrĂštement, le maire procĂšde Ă  un contrĂŽle dĂšs la premiĂšre annĂ©e de l’instruction en famille, puis ensuite tous les deux ans. Quel est le but de cette enquĂȘte ? Dans sa version initiale, d’aprĂšs l’article L131-10 alinĂ©a 1er du Code de l’éducation, cette enquĂȘte a pour objectif d’établir quelles sont les raisons allĂ©guĂ©es par les personnes responsables de l’enfant, et s’il leur est donnĂ© une instruction dans la mesure compatible avec leur Ă©tat de santĂ© et les conditions de vie de la famille ». La loi du 24 aoĂ»t 2021 est venue remplacer l’objet de cette enquĂȘte au vu du changement de rĂ©gime opĂ©rĂ© sur l’instruction en famille. DĂ©sormais, l’enquĂȘte administrative aura pour objectif de vĂ©rifier la rĂ©alitĂ© des motifs avancĂ©s par les personnes responsables de l’enfant pour obtenir l’autorisation mentionnĂ©e Ă  l’article L131-5 ». A cette enquĂȘte administrative est couplĂ© un suivi mĂ©dical. En effet, un nouvel alinĂ©a prĂ©voit que Dans le cadre de cette requĂȘte, une attestation de suivi mĂ©dical est fournie par les personnes responsables de l’enfant ». Le rĂ©sultat de l’enquĂȘte est communiquĂ© Ă  l’autoritĂ© de l’état compĂ©tente en matiĂšre d’éducation. Afin de renforcer les modalitĂ©s de l’enquĂȘte administrative, l’article L131-6-1 dudit Code prĂ©voit que chaque enfant soumis Ă  l’obligation scolaire se voit attribuer un identifiant national. L’autoritĂ© de l’Etat est crĂ©anciĂšre d’une mission d’information en matiĂšre de risques de sanctions pĂ©nales encourues par les personnes responsables de l’enfant. En matiĂšre d’instruction en famille, vous l’aurez compris, il s’agira des parents. C’est justement cette autoritĂ© qui va se charger du deuxiĂšme volet du contrĂŽle de l’instruction obligatoire. 2- Le suivi par l’autoritĂ© de l’Etat. Cette deuxiĂšme partie du contrĂŽle a notamment Ă©tĂ© accrue par la loi du 18 dĂ©cembre 1998 tendant Ă  renforcer le contrĂŽle de l’obligation scolaire. Quelle est la frĂ©quence du suivi ? L’article L131-10 du Code de l’éducation dispose que L’autoritĂ© de l’Etat compĂ©tente en matiĂšre d’éducation doit au moins une fois par an, Ă  partir du troisiĂšme mois suivant la dĂ©claration d’instruction 
 ce contrĂŽle permet de s’assurer de l’acquisition progressive par l’enfant de chacun des domaines du socle commun de connaissances, de compĂ©tences et de culture dĂ©fini Ă  l’article L122-1-1 au regard des objectifs de connaissances et de compĂ©tences attendues Ă  la fin de chaque cycle d’enseignement de la scolaritĂ© obligatoire. Il est adaptĂ© Ă  l’ñge de l’enfant et, lorsqu’il prĂ©sente un handicap ou un trouble de santĂ© invalidant, Ă  ses besoins particuliers ». DĂšs lors, nous pouvons en conclure que le deuxiĂšme volet de l’enquĂȘte s’intĂ©resse Ă  la progression des connaissances de l’enfant, par rapport Ă  l’état de connaissances attendues dans un Ă©tablissement d’enseignement public ou privĂ©. L’autoritĂ© compĂ©tente va dans un premier temps, vĂ©rifier que l’instruction ne va pas au-delĂ  du cercle familial, c’est-Ă -dire qu’elle est donnĂ©e Ă  un seul enfant ou, si plusieurs enfants sont concernĂ©s, qu’ils sont de la mĂȘme famille. Ce contrĂŽle est de nature pĂ©dagogique. Il doit normalement permettre de vĂ©rifier la maĂźtrise progressive de chacun des domaines du socle commun. D’aprĂšs l’article R131-13 du Code de l’éducation, le contrĂŽle est fait au regard des objectifs de connaissances et de compĂ©tences attendues Ă  la fin de chaque cycle d’enseignement de la scolaritĂ© obligatoire, en tenant compte des mĂ©thodes pĂ©dagogiques retenues par l’établissement ou par les personnes responsables des enfants qui reçoivent l’instruction dans la famille ». L’article L131-10 dudit code prĂ©voit que le contrĂŽle est adaptĂ© Ă  l’ñge de l’enfant et, en prĂ©sence d’un handicap ou un trouble de santĂ© invalidant, Ă  ses besoins particuliers. L’article R131-14 du Code de l’éducation prĂ©cise que lors du contrĂŽle, l’enfant effectue ensuite des exercices Ă©crits ou oraux, qui sont adaptĂ©s Ă  son Ăąge et son Ă©tat de santĂ©. Le Code de l’éducation prĂ©voit donc la prise en compte du statut particulier de certains enfants dans son contrĂŽle de l’instruction en famille et en fait donc une obligation lĂ©gale pour le contrĂŽleur. Ces contrĂŽles inopinĂ©s sont-ils lĂ©gaux ? Le Conseil d’Etat a validĂ© le nouveau dispositif de contrĂŽle inopinĂ© des familles assurant l’instruction Ă  domicile de leur enfant, instituĂ© par la loi pour une Ă©cole de la confiance [6]. InopinĂ© ne signifie pas que les intĂ©ressĂ©s ne sont pas prĂ©venues du jour et de l’heure de ce contrĂŽle. IV - Un affaiblissement du droit Ă  l’instruction en famille. La nouvelle rĂ©daction de l’article L131-5 du Code de l’éducation a Ă©tĂ© validĂ©e par le Conseil Constitutionnel, dans sa dĂ©cision du 23 aoĂ»t 2021, n°2021-823 DC. Le Conseil Constitutionnel rappelle que 
 L’instruction primaire est obligatoire 
 elle peut ĂȘtre donnĂ©e soit dans les Ă©tablissements d’instruction primaire ou secondaire, soit dans les Ă©coles publiques ou libres, soit dans les familles, par le pĂšre de famille lui-mĂȘme ou par toute personne qu’il aura choisie », selon l’article 4 de la loi du 28 mars 1882 portant sur l’organisation de l’enseignement primaire. Il rĂ©sulte cette loi que le lĂ©gislateur n’a fait de l’instruction en famille qu’une modalitĂ© de mise en Ɠuvre de l’instruction obligatoire. Ainsi il ajoute que l’instruction en famille n’est pas une composante de la libertĂ© de l’enseignement mais une modalitĂ© de mise en Ɠuvre de l’instruction obligatoire. Ce raisonnement est trĂšs critiquable car dans la cĂ©lĂšbre dĂ©cision du Conseil Constitutionnel du 16 juillet 1971, consacrant l’existence des principes fondamentaux reconnus par les lois de la rĂ©publique, le Conseil Constitutionnel avait censurĂ© une loi qui souhaitait faire passer le principe de la dĂ©claration prĂ©alable de la constitution des associations Ă  un rĂ©gime d’autorisation prĂ©alable [7]. Le raisonnement Ă©tait tout Ă  fait transposable Ă  la loi modifiant l’instruction en famille. Le Conseil Constitutionnel n’a pas saisi cette occasion pour renforcer l’instruction en famille. Surtout, de nombreux parents ont souhaitĂ© s’engager dans cette voie afin d’éviter les difficultĂ©s liĂ©es aux restrictions sanitaires port du masque et vaccination. Cette solution risque bientĂŽt de ne plus ĂȘtre possible. David Guyon, Avocat Recommandez-vous cet article ? Donnez une note de 1 Ă  5 Ă  cet article L’avez-vous apprĂ©ciĂ© ? Notes de l'article [1] Article L131-1-1 du Code de l’Education. [2] Article L111-1 alinĂ©a 5. [3] Article 227-17 du Code pĂ©nal. [4] CEDH, dĂ©cision du 6 mars 1984, Famille H. c. Royaume-Uni, n°10233/83. [5] Conseil d’Etat Avis 29 novembre 2018 n°396047. [6] Conseil d’Etat, 2 avril 2020, n°435002. [7] Conseil Constitutionnel 16 juillet 1971 n°71-44. ConsidĂ©rantque si, en application des dispositions prĂ©citĂ©es de l’article L. 131-10 du code de l’éducation, il incombe Ă  l’inspecteur d’acadĂ©mie, directeur des services dĂ©partementaux de

Actions sur le document Article R131-10-2 Les catégories de données enregistrées sont les suivantes 1° Nom, prénoms, sexe, date et lieu de naissance et adresse de l'enfant soumis à l'obligation scolaire ; 2° Nom, prénoms, adresse et profession de la ou les personnes responsables de l'enfant, au sens de l'article L. 131-4 ; 3° Nom, prénom et adresse de l'allocataire des prestations familiales ; 4° Nom et adresse de l'établissement d'enseignement public ou privé fréquenté, date d'inscription et date de radiation de l'élÚve ; le cas échéant, date de la déclaration annuelle d'instruction dans la famille ; 5° Mention et date de la saisine de l'inspecteur d'académie, directeur des services départementaux de l'éducation nationale, par le directeur ou le chef d'établissement d'enseignement pour défaut d'assiduité de l'élÚve en application de l'article L. 131-8 ; 6° Mention et date de notification de l'avertissement adressé par l'inspecteur d'académie, directeur des services départementaux de l'éducation nationale, aux personnes responsables de l'enfant en application de l'article L. 131-8 ; 7° Mention, date et éventuellement durée de la sanction d'exclusion temporaire ou définitive de l'élÚve prononcée par le chef d'établissement ou le conseil de discipline de l'établissement d'enseignement. DerniÚre mise à jour 4/02/2012

ORDONNANCELOI N° 10/002 DU 20 AOUT 2010 PORTANT CODE DES DOUANES. Le Président de la République, Vu la Constitution, spécialement en ses articles 129 ; Revu, tel que modifié et complété à ce jour, le Décret du 29 janvier 1949 coordonnant et révisant le régime douanier de la République Démocratique du Congo ; Vu la loi n° 10/012
9 mars 2007 L’article L131-10 du code de l’éducation vient d’ĂȘtre modifiĂ© par deux lois rĂ©cemment promulguĂ©es. Loi relative Ă  la prĂ©vention de la dĂ©linquance AdoptĂ©e dĂ©finitivement par le Parlement le 22 fĂ©vrier, la loi relative Ă  la prĂ©vention de la dĂ©linquance a Ă©tĂ© promulguĂ©e le 5 mars 2007. Les parlementaires socialistes, jugeant anticonstitutionnelles certaines mesures concernant les mineurs dĂ©linquants ainsi que des mesures relatives Ă  la transmission de donnĂ©es relevant du secret professionnel, avaient saisi le Conseil constitutionnel. Celui-ci a jugĂ© la loi relative Ă  la prĂ©vention de la dĂ©liquance conforme Ă  la Constitution et l’a validĂ©e le 3 mars 2007. Cette loi met en place l’enquĂȘte Ă  caractĂšre social pour les familles dont l’enfant est instruit Ă  distance en ayant recours Ă  un cours par correspondance agréé. La loi relative Ă  la prĂ©vention de la dĂ©linquance est visible sur le site de LegiFrance LOI n° 2007-297 du 5 mars 2007 Loi rĂ©formant la protection de l’enfance AdoptĂ©e dĂ©finitivement par le Parlement le 22 fĂ©vrier, la loi rĂ©formant la protection de l’enfance a Ă©tĂ© promulguĂ©e le 5 mars 2007. Cette loi prĂ©cise que l’instruction en famille ne permet pas le regroupement de familles pour instruire leurs enfants en commun. La loi rĂ©formant la protection de l’enfance est visible sur le site de LegiFrance LOI n° 2007-293 du 5 mars 2007 Article L131-10 modifiĂ© par les lois n°2007-293 et n°2007-297 Les enfants soumis Ă  l’obligation scolaire qui reçoivent l’instruction dans leur famille, y compris dans le cadre d’une inscription dans un Ă©tablissement d’enseignement Ă  distance, sont dĂšs la premiĂšre annĂ©e, et tous les deux ans, l’objet d’une enquĂȘte de la mairie compĂ©tente, uniquement aux fins d’établir quelles sont les raisons allĂ©guĂ©es par les personnes responsables, et s’il leur est donnĂ© une instruction dans la mesure compatible avec leur Ă©tat de santĂ© et les conditions de vie de la famille. Le rĂ©sultat de cette enquĂȘte est communiquĂ© Ă  l’inspecteur d’acadĂ©mie, directeur des services dĂ©partementaux de l’éducation nationale. Lorsque l’enquĂȘte n’a pas Ă©tĂ© effectuĂ©e, elle est diligentĂ©e par le reprĂ©sentant de l’Etat dans le dĂ©partement. L’inspecteur d’acadĂ©mie doit au moins une fois par an, Ă  partir du troisiĂšme mois suivant la dĂ©claration d’instruction par la famille, faire vĂ©rifier que l’enseignement assurĂ© est conforme au droit de l’enfant Ă  l’instruction tel que dĂ©fini Ă  l’article L. 131-1-1. Ce contrĂŽle prescrit par l’inspecteur d’acadĂ©mie a lieu notamment au domicile des parents de l’enfant. Il vĂ©rifie notamment que l’instruction dispensĂ©e au mĂȘme domicile l’est pour les enfants d’une seule famille Ce contrĂŽle est effectuĂ© sans dĂ©lai en cas de dĂ©faut de dĂ©claration d’instruction par la famille, sans prĂ©judice de l’application des sanctions pĂ©nales. Le contenu des connaissances requis des Ă©lĂšves est fixĂ© par dĂ©cret. Les rĂ©sultats de ce contrĂŽle sont notifiĂ©s aux personnes responsables avec l’indication du dĂ©lai dans lequel elles devront fournir leurs explications ou amĂ©liorer la situation et des sanctions dont elles seraient l’objet dans le cas contraire. Si, au terme d’un nouveau dĂ©lai fixĂ© par l’inspecteur d’acadĂ©mie, les rĂ©sultats du contrĂŽle sont jugĂ©s insuffisants, les parents sont mis en demeure, dans les quinze jours suivant la notification, d’inscrire leur enfant dans un Ă©tablissement d’enseignement public ou privĂ© et de faire connaĂźtre au maire, qui en informe l’inspecteur d’acadĂ©mie, l’école ou l’établissement qu’ils auront choisi.
Lobjectif principal du plan est d'accroĂźtre l'efficacitĂ© et de promouvoir les mĂ©canismes du marchĂ©. En mĂȘme temps, il est conçu pour surmonter les consĂ©quences sociales et politiques de ses mesures. Les dĂ©penses publiques sont concentrĂ©es aux secteurs de la santĂ©, de l'Ă©ducation, du logement et des services.
Décret n°2003-1010 du 22 octobre 2003 relatif à la gestion budgétaire, comptable et financiÚre, et aux modalités de financement et de tarification des établissements et services sociaux et médico-sociaux mentionnés au I de l'article L. 312-1 du code de l'action sociale et des familles, et des établissements mentionnés au 2° de l'article L. 6111-2 du code de la santé Article 81 - Décret n°2003-1010 du 22 octobre 2003 relatif à la gestion budgétaire, comptable et financiÚre, et aux modalités de financement et de tarification des établissements et services sociaux et médico-sociaux mentionnés au I de l'article L. 312-1 du code de l'action sociale et des familles, et des établissements mentionnés au 2° de l'article L. 6111-2 du code de la santé publique. »Version à la date format JJ/MM/AAAAou du
Particuliersemployeurs et emploi Ă  domicile. Cette convention collective est entrĂ©e en vigueur au 01/01/2022 suite Ă  la fusion des conventions collectives “SalariĂ©s du particulier employeur (IDCC 2111)” et “Assistants maternels du particulier employeur (IDCC 2395)” qui Ă©taient applicables jusqu’au 31/12/2021. L'enquĂȘte publique prĂ©vue au deuxiĂšme alinĂ©a de l'article L. 131-4 s'effectue dans les conditions fixĂ©es par la prĂ©sente section. Un arrĂȘtĂ© du prĂ©sident du conseil dĂ©partemental dĂ©signe un commissaire enquĂȘteur ou une commission d'enquĂȘte dont il nomme le prĂ©sident. Les membres de la commission d'enquĂȘte sont en nombre impair. Le commissaire enquĂȘteur ou les membres de la commission d'enquĂȘte sont choisis sur une liste dĂ©partementale Ă©tablie annuellement en application de l'article R. 111-4 du code de l'expropriation pour cause d'utilitĂ© publique. Le mĂȘme arrĂȘtĂ© prĂ©cise 1° L'objet de l'enquĂȘte, la date Ă  laquelle celle-ci sera ouverte et sa durĂ©e qui ne peut ĂȘtre infĂ©rieure Ă  quinze jours ni supĂ©rieure Ă  deux mois ; 2° Les heures et lieux oĂč le public pourra prendre connaissance du dossier et formuler ses observations.
promotionet au soutien de l’emploi local. JONC du 12 aoĂ»t 2010 Page 6934 ComplĂ©tĂ© par : Loi du pays n° 2010-10 du 27 juillet 2010 portant modification du code du travail de Nouvelle-CalĂ©donie. JONC du 12 aoĂ»t 2010 Page 6938 ModifiĂ© par : Loi du pays n° 2010-13 du 31 dĂ©cembre 2010 relative au dialogue social. JONC du 31 dĂ©cembre 2010
ÉvoquĂ© Ă  l'occasion de l'adoption de la loi confortant le respect des principes de la RĂ©publique, l'an passĂ©, le rĂ©fĂ©rentiel national des enfants soumis Ă  l'obligation d'instruction ne sera finalement pas mis en place par le ministĂšre de l'Éducation nationale. C'est Ă  bas bruit, Ă  l'occasion d'une rĂ©ponse Ă  une question parlementaire publiĂ©e il y a plusieurs mois, que le ministre de l'Éducation nationale a enterrĂ© l'idĂ©e de crĂ©er un rĂ©fĂ©rentiel national des enfants soumis Ă  l'obligation d'instruction. La pĂ©riode estivale est traditionnellement propice Ă  l'Ă©tablissement par les maires de la liste scolaire. Dans sa question au ministre de l'Éducation nationale, le dĂ©putĂ© de l'Eure-et-Loir Luc Lamirault estimait pourtant qu'"il est reconnu que ce contrĂŽle est souvent difficile notamment du fait du manque d'information accessible pour connaĂźtre l'identitĂ© des enfants en Ăąge d'ĂȘtre instruits". C'est pourquoi il souhaitait savoir oĂč en Ă©tait le projet de mise en place d'un groupe de travail entre les ministĂšres de l'Éducation nationale et de la CohĂ©sion des territoires "afin d'expertiser les moyens permettant d'Ă©tendre Ă  l'ensemble des communes la mise en Ɠuvre d'un traitement automatisĂ© de donnĂ©es pour le recensement scolaire". On se souvient que la question avait ressurgi Ă  l'occasion de l'examen de la loi du 24 aoĂ»t 2021 confortant le respect des principes de la RĂ©publique. Afin notamment de renforcer le suivi de l'obligation d'instruction par le maire et l'autoritĂ© de l'État compĂ©tente en matiĂšre d'Ă©ducation et de s'assurer ainsi qu'aucun enfant n'est privĂ© de son droit Ă  l'instruction, l'article 51 du texte a prĂ©vu que chaque enfant soumis Ă  l'obligation d'instruction se voit attribuer un identifiant national, y compris lorsqu'il est instruit en famille. CoĂ»t trop Ă©levĂ© Dans sa rĂ©ponse, le ministre de l'Éducation nationale prĂ©cise que des Ă©changes avec le ministĂšre de la CohĂ©sion des territoires ont eu lieu au dĂ©but de 2021 pour savoir "dans quelle mesure il pourrait ĂȘtre pertinent, pour faciliter le travail des maires, de construire un rĂ©fĂ©rentiel national des enfants soumis Ă  l'obligation d'instruction" sur le modĂšle du rĂ©pertoire Ă©lectoral unique REU. Mais, souligne-t-il immĂ©diatement aprĂšs, "cette piste se heurte Ă  plusieurs Ă©cueils, dont notamment la question de l'alimentation initiale de ce rĂ©pertoire qui devrait non seulement recenser la totalitĂ© des enfants de trois Ă  seize ans rĂ©sidant sur le territoire national, mais Ă©galement renseigner Ă  tout moment leur commune de rĂ©sidence". Plus largement, le ministre pointe le "coĂ»t", le "dĂ©lai de dĂ©veloppement" et la "complexitĂ©" de cette solution, "Ă©tant rappelĂ© que l'objectif recherchĂ© est en particulier de pouvoir attribuer un numĂ©ro INE aux enfants 'hors-radars', soit moins de 1% des enfants d'Ăąge scolaire". Le ministre rappelle donc que "la piste la plus opĂ©rationnelle pour fiabiliser l'Ă©tablissement de la liste scolaire et, surtout, garantir autant que faire se peut son exhaustivitĂ©, reste celle de la systĂ©matisation de la transmission" aux maires des fichiers des ayants droit des prestations familiales par les organismes chargĂ©s de leur versement. Les maires peuvent en faire la demande sur la base de l'article du Code de l'Ă©ducation.
AzVg.
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