AstonMartin DBS (Au service secret de Sa Majesté) Triumph Stag (Les diamants sont éternels), Ford Mustang Mach 1 (Les diamants sont éternels), Glasdtron GT150 (Vivre et laisser mourir), Hors-bord (Vivre et laisser mourir), Réplique de La révolution électrique se fait pour l'instant attendre sur la route. Mais dans le monde du cinéma, elle est déjà en marche. Le plus célèbre des agents secrets va abandonner pour la première fois sa voiture thermique pour une Aston Martin Rapide agent secret au service de sa majesté doit-il forcément oublier les questions environnementales ? La question est déjà posée, et nous avons un début de réponse puisque la presse anglaise annonce que le prochain James Bond fera l'objet d'un grand changement l'apparition de la Rapide E sur le grand écran, au détriment d'une Aston Martin à moteur V12. C'est un vrai changement pour la saga et un signe que l'électrique fait aussi son chemin dans des domaines où on ne l'attendait pas forcément. Mais James Bond, aussi charismatique et important pour le Royaume-Uni soit-il, ne peut pas continuer à brûler du sans-plomb sans sourciller au volant d'un V12 anglais il va devoir apprendre à trouver des chargeurs rapides sur ses trajets. Il vaudra mieux, en tout cas, puisque son carrosse ne sera autre que la toute nouvelle Aston Martin Rapide E, actuellement en fin de développement, et dont l'autonomie annoncée dépasse tout juste les 300 km. Pour les courses-poursuites, il faudra bien faire attention à surveiller la charge des batteries sous peine de faire le coup de la panne à la dulcinée de James Bond.
DeGoldfinger à Mourir peut attendre, en passant par Au service secret de Sa Majesté, la montagne, surtout les Alpes, est l’un des terrains de jeux favoris de James Bond et des méchants qu’il affronte. Retour les lieux de tournage les plus mythiques de 007 à la montagne. Les sommets enneigés sont présents dans 16 des 25 films James Bond. La montagne est l’un
Mar. 16 Jul 2019 Ref. 109614 Le constructeur anglais est intimement lié à l’agent secret 007. Aston Martin a décidé de sortir une édition spéciale et limitée de sa DBS Superleggera, afin de célébrer les 50 ans du film “Au service secret de sa Majesté” On Her Majesty’s Secret Service - OMHSS. Particulièrement élégante, cette Aston cache bien son jeu. Il s’agit donc de la dernière DBS de la firme de Gaydon, comme dans le film où Georges Lazenby incarne 007. L’auto hérite d’une carrosserie couleur olive, comme la DBS de 1969 utilisée dans le film. Elle se dote de jantes 21 pouces avec un design assez unique, et une calandre intégrant six lames chromées, particulièrement réussie. Plusieurs éléments en fibre de carbone font également leur apparition. Dans l’habitacle, le cuir noir et alcantara gris se partagent la sellerie, comme dans la DBS originale de 1969. Toutefois, de légères touches de rouges surpiqûres, intérieur de la boîte à gant centrale viennent égayer tout cela. Un intérieur sobre et élégant. Sous le capot, de gros changements en perspective par rapport à la DBS originale, puisque la DBS Superleggera est équipée d’un V12 biturbo développant 715 chevaux. Seulement 50 exemplaires de la DBS Superleggera OHMSS sortiront des usines Aston Martin, pour un prix de 300,007 livres petit clin d’oeil à l’agent secret britannique..
Làoù la DBS renouvelle complètement la gamme Aston Martin, c'est au niveau de son dessin, beaucoup plus moderne, beaucoup plus latin, voire même américain via la ligne fastback. Si elle eut du mal à séduire les aficionados de la marque, elle connut un franc succès médiatique car conduite par 007 dans Au Service Secret de sa Majesté, mais surtout par Roger
Automobile Sports et rêves La marque anglaise change de stratégie, mais ne peut se résoudre à condamner ses moteurs de légende. C'est pourtant autour d'un V6 hybride qu'elle se relance. 70 ans de Vantage chez Aston Martin, cela donne cette belle photo de famille © Aston Martin À Gaydon, au centre de l'Angleterre, ou à la nouvelle unité de St Athan pays de Galles, ce début de semaine ne commence pas tout à fait comme les autres. Le coronavirus sème la perturbation en Grande-Bretagne comme ailleurs, et les deux sites d'Aston Martin ne résonnent plus du grondement caverneux des V8 ou du feulement sauvage des V12 qui sortent de chaînes. L'activité est stoppée au moment précis où le nouveau patron – 25 % du capital – prend les milliardaire Lawrence Stroll, père du pilote de Formule 1 Lance Stroll et ayant bâti sa fortune avec les boutiques de mode, arrive à un moment capital. Celui où le constructeur, qui se serait bien passé de la pandémie et de ses conséquences, voyait enfin s'entrouvrir une fenêtre sur son avenir. Après avoir fait durer l'existant », parfois au-delà du raisonnable et avec une gamme changeante où même les piliers de pub y perdaient leur flegme british, Aston Martin semble avoir trouvé la martingale pour rebondir. Mais à un moment bien peu aussi Aston Martin change de mains et revient en F1 »Une gamme en pleine reconstruction avec une orientation vers les véhicules à moteur central arrière, des supercars sans malheureusement l'engagement au Mans pour cause de changement de règlement, l'entrée à part entière en F1 et le projet quasi abouti d'un SUV de grand luxe, Aston Martin frise la dispersion. Il faudra bien la fortune de M. Stroll pour mener à bien tous ces projets. Et en premier lieu, la reprise de la production. Notre objectif le plus pressant est de prévoir un redémarrage de nos usines, en particulier de commencer la production du premier SUV de la marque, le DBX, et de redonner vie à toute l'organisation », a-t-il déclaré en pointant l'environnement mondial le plus difficile que nous ayons jamais connu ». Le redémarrage devrait s'effectuer prudemment, en gérant le nombre de voitures produites et en défendant leur prix haut perchés. Mais compagne d'aventures de 007, l'agent secret de Sa Majesté, Aston Martin se doit de tenir son aussi Aston Martin cède à la mode du SUV avec le DBX »Divorce avec MercedesLa première conséquence de cette nouvelle orientation est qu'elle pourrait mettre fin au contrat de fourniture qui, depuis 2013, lie l'Anglais à Mercedes AMG. Cela porte sur la mécanique mais aussi des sous-ensembles d'habitacle. C'est même le directeur général d'Aston Martin, Andy Palmer, qui le dit à notre confrère anglais Autocar. Mercedes n'a pas caché dans quel sens va sa technologie de moteur. Nous ne prévoyons évidemment pas de moteurs à quatre cylindres dans nos Aston, a déclaré Andy Palmer et nous devons donc tracer notre propre route. » Cela paraît condamner le V8 litres AMG actuel qui sera remplacé, à compter de 2022, par le nouveau V6 hybride d'Aston Martin. Un crime de lèse-majesté, car la marque britannique fut une ardente militante du 6 cylindres en ligne. Ce moteur en V a été conçu de telle sorte qu'il puisse convenir à la majorité des futurs modèles, ses deux cylindres en moins permettant de l'installer plus facilement en position centrale arrière. La nouvelle doctrine technologique d'Aston Martin devrait changer la physionomie de la gamme, les coupés à moteur avant conservant néanmoins leur place le verra tout d'abord sur la supercar Valhalla et, qui peut le plus…., sur la Vantage, la gamme DB11 et le prochain SUV DBX. Le critère est qu'il offre au moins autant de puissance que le V8 selon Andy Palmer qui déclare à Autocar À mesure que vous avancez, vous vous attendez normalement à une augmentation de la puissance, pas à une diminution. Nos clients ne peuvent pas reculer et si le V6 est plus petit, il sera plus performant. »Hybridation étagéeL'hybridation, selon plusieurs schémas de un à plusieurs moteurs électriques, apportera au cas par cas le surcroît de puissance et permettra d'abaisser le niveau des émissions polluantes. Le V6, qui sera fabriqué en Grande-Bretagne, peut être couplé aux transmissions existantes mais Palmer veut rassurer ses clients inconditionnels sur le chant des échappements Aston Martin. Tant qu'il ressemble à un V8 et qu'il sonne comme lui, je pense que c'est une manière parfaitement censée de s'adapter à l'époque sans descendre jusqu'au quatre cylindres. »Bonne nouvelle en revanche pour le V12 biturbo, sa production continue mais devrait passer de l'usine Ford de Cologne Allemagne à l'Angleterre chez un fournisseur non précisé. L'année dernière, Aston Martin a vendu près de 1 800 voitures équipées de cet extravagant V12 qui serait condamné avec tous les moteurs thermiques d'ici à 2035 en Grande-Bretagne. Véritable monument en péril, il s'adaptera avec une aide électrique dans un premier LIRE AUSSI Aston Martin DBS Superleggera un grand Bond en avant »Comme chez McLaren, Palmer assure à nos confrères d'Autocar qu'Aston Martin continuera de développer des moteurs thermiques tant que des marchés en demanderont. Le point clé est que nous fabriquons des voitures pour le monde, et le monde n'a pas dit qu'il n'y avait pas d'avenir pour les hybrides ou les hybrides rechargeables », a tancé Palmer. Si nous ne vendions qu'au Royaume-Uni, ce serait différent, mais nous opérons sur un marché mondial où il existe une variété de points de vue sur la technologie future et la façon dont elle sera déployée. » Je m'abonne Tous les contenus du Point en illimité Vous lisez actuellement Aston Martin tempête sous un capot 8 Commentaires Commenter Vous ne pouvez plus réagir aux articles suite à la soumission de contributions ne répondant pas à la charte de modération du Point. Vous ne pouvez plus réagir aux articles suite à la soumission de contributions ne répondant pas à la charte de modération du Point.

Plusieurss’entendent pour dire qu’ Au service secret de Sa Majesté est l’un des pires films de James Bond de l’histoire. Chose certaine, George Lazenby n’arrive pas à

© Prod 1/21 - Première aventure à bord d'une Alpine Sunbeam Série II de 1959. Les fous furieux du labo de "Q" n'ont pas encore eu le temps d'insérer le moindre gadget. Le 27 octobre 2014 à 19h37 A l'occasion la programmation ce lundi 27 octobre de Vivre et laisser mourir France Ô, 20h45, petit voyage aux pays des voitures de légende ou pas pilotées par James Bond au cours de ses 23 aventures cinémaOn a tous une voiture de James Bond préférée. Une James Bond girl préférée aussi mais restons sur les voitures si vous voulez bien. Ces modèles amoureusement équipés de gadgets les plus improbables par Q ça va du siège éjectable, aux mitrailleuses en passant par un défibrillateur ou par des skis sont souvent des voitures de luxe. Parfois 007 s'amuse avec des voitures de monsieur tout le monde 2 CV et bizarrement d'ailleurs, il s'agit toujours de françaises... Mais, pas de jaloux qu'il s'agisse de modèles hors de prix ou de gentilles tutures, James Bond réussit presque toujours à les mettre en mille morceaux. C'en est au point où on peut d'ailleurs se demander si le détenteur du permis de tuer a un jour pensé à décrocher son permis de conduire...En fait, une seule voiture enfin un seul modèle peut se vanter d'avoir été six fois piloté par Bond au cours de la saga qui verra son 24ème épisode sortir l'an prochain C'est l'Aston Martin DB5, la toute première et la toute dernière conduite par l'espion britannique alors incarné par Sean Connery, aujourd'hui par Daniel Craig. Qui a dit que James Bond n'était pas fidèle ?Diaporama réalisé par Sandric Vasseur Inscrivez-vous à la Newsletter de pour recevoir gratuitement les dernières actualités © Danjaq 2/21 - Pour sa seconde aventure, 007 utilise une Bentley Mark IV de 1939. S'il ne pilote pas la voiture, il utilise quand même un téléphone de bord, ce qui, à l'époque, était assez inhabituel... © Danjaq 3/21 - James Bond dans "Goldfinger" à côté de son Aston Martin DB5 que l'on reverra dans "Skyfall". Deux modèles ont été spécialement fabriqués pour le tournage. © MGM 4/21 - Sean Connery à côté d'une Aston Martin DB5. A noter que Ford a consenti à fournir une Lincoln Continental flambant neuve mais qui finit compacté en échange d'une petite apparition de son nouveau modèle de l'époque la Mustang. © DR 5/21 - Cette Toyota 2000 GT cabriolet est un modèle spécial puisqu'elle n'existait que sous la forme d'un coupé. Elle a été spécialement construite pour le film en double exemplaire. © MGM 6/21 - Après une Aston Martin DBS pour "Au service secret de sa Majesté" 1969, Bond pilote une vraie américaine, en l'occurrence une Ford Mustang Mach 1. © Danjaq 7/21 - Une AMC Hornet X volante prend la suite de la Chevrolet Impala convertible conduite par 007 dans "Vivre et laisser mourir" 1973. © Danjaq 8/21 - La fameuse Lotus Esprit S1 qui a la particularité de pouvoir se transformer en sous-marin. © Danjaq 9/21 - Démonstration amphibie pour la Lotus Esprit S1. Ce modèle "sous-marin" a été mis en vente sur e-bay voilà quelques jours. Mise à prix un million de dollars... © Prod 10/21 - C'est une bonne vieille Citroën 2CV qui a pris la relève ! Increvable mais un peu moins classe que la superbe MP Lafer pilotée par la non moins superbe Manuela Emily Bolton dans "Moonraker" 1979. © Danjaq 11/21 - Roger Moore près de sa Lotus Esprit. © EON 12/21 - Roger Moore a décidement décidé de faire vivre un calvaire à toutes les voitures françaises lui tombant sous la main. Ici une moitié de Renault 11 TSE. © Danjaq 13/21 - James Bond sort les patins de son Aston Martin V8 Vantage Volante. Idéale pour la neige, la glace, ridiculiser les méchants... © Danjaq 14/21 - So shocking ! L'espion de sa Majesté délaisse à nouveau les voitures anglaises pour une BMW Z3. Oui, c'est une Allemande, et alors ? © MGM 15/21 - Q a encore sévi et confie sacrifie ? à James Bond une BMW 750iL télécommandée. © Danjaq 16/21 - Pas de voiture disponible ? Pas de problème 007 transporte Michelle Yeoh sur une BMW R1200C. © Danjaq 17/21 - John Cleese, le nouveau Q, confie une BMW Z8 à Pierce Brosnan. Comme d'habitude Bond prend grand soin de sa voiture celle-ci termine en mille morceaux après avoir été coupée en deux. © Danjaq 18/21 - James Bond tient la tête en Aston Martin V12 Vanquish, les fâcheux derrière foncent en Jaguar XKR. © Danjaq 19/21 - Bond sait qu'il peut compter sur son Aston Martin DBS V12. La voiture est aussi équipée d'un détecteur de poison et d'un défibrillateur qui vont s'avérer très très utiles. © Danjaq 20/21 - Le même modèle Aston Martin DBS que le précédent Bond. 007, très fâché de devoir piloter la même voiture, la massacre durant une poursuite démarrant le film. © Danjaq 21/21 - 007 retrouve l'Aston Martin DB5 apparue en 1964 dans "Goldfinger". Ce magnifique modèle finit criblé de balles et explosé mais reste, malgré tout, la voiture préférée de Bond avec six apparitions dans la saga. Sur le même sujet
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ElevageAu Service Secret De Sa Majesté - eleveur de chiens Chien d'eau americain. 7 chiots American Water Spaniel nés le 11 août 2022. 4 mâles et 3 femelles nées le 11 août 2022: Il reste un chiot femelle et 3 chiots mâles à réserver. Ils seront disponibles le 6 octobre 2022. regarder 0136 We're Getting Mutants in the MCU - The Loop L'Aston Martin V8 Vantage Series II est une voiture de sport britannique décapotable produite par le constructeur automobile britannique Aston Martin de 1986 à 1989. Dans la franchise de James Bond, elle est d'abord apparue dans le film de 1987 Tuer n'est pas jouer comme voiture de fonction de Bond, qui s'en est notamment servi lors de sa mission en Tchécoslovaquie. L'Aston Martin V8 a ensuite fait son retour des années plus tard dans le film de 2021 Mourir peut attendre, toujours conduite par Bond. Dans les films[] Tuer n'est pas jouer film[] Une Aston Martin V8 modifiée par le quartier-maître du MI6 Q et ses ingénieurs est mise à la disposition de Bond après qu'il ait aidé le général du KGB Georgi Koskov à passer à l'Ouest. L'espion anglais conduit l'automobile pour la première fois lorsqu'il se rend à un debriefing avec Koskov ainsi que son supérieur Marian Hargreaves et le ministre de la Défense britannique Frederick Gray dans un manoir situé dans la campagne anglaise afin d'en apprendre plus sur une opération soviétique nommée "Smiert Spionam". Après que Koskov ait été apparemment enlevé sous les ordres du chef du KGB Leonid Pushkin, 007 reprend l'automobile alors qu'elle vient d'être repeinte dans le laboratoire de Q pour se rendre à Bratislava, en Tchécoslovaquie, et interroger Kara Milovy, la petite-amie de Koskov. L'Aston Martin est ensuite utilisée par le binôme pour échapper à l'agent du KGB surveillant le domicile de Kara. Grâce à la fréquence de la police locale captée par l'autoradio de la V8, 007 et Kara apprennent que la police est à leur recherche. Au cours de la course-poursuite qui s'ensuit dans les Alpes, Bond utilise les diverses fonctions de la voiture pour endommager plusieurs véhicules à leurs trousses et passer outre les barrages installés par la police, à la surprise de Kara. Ignorant la demande de Q de prendre soin de l'Aston Martin, le Britannique borné enclenche finalement le mécanisme d'auto-destruction de la V8 pour prendre les agents du KGB au dépourvu afin de faciliter sa fuite et celle de Kara et leur permettre de passer la frontière autrichienne. Mourir peut attendre film[] Après avoir débuté une nouvelle mission à Cuba, Bond utilise une Aston Martin V8 pour rentrer à Londres, puis pour se rendre à la maison d'enfance de sa partenaire Madeleine Swann à Nittedal, en Norvège. Après la mort de l'espion, Madeleine semble être la nouvelle propriétaire de la V8 dont elle est finalement au volant pour se rendre à Matera, en Italie, avec sa fille Mathilde. Production[] Image promotionnelle de Timothy Dalton avec l'Aston Martin V8 Vantage. Tuer n'est pas jouer a marqué la première fois que Bond conduit une Aston Martin depuis Au service secret de Sa Majesté 1969. Bien que la Lotus Esprit ait fait des apparitions remarquées dans L'espion qui m'aimait 1977 et Rien que pour vos yeux 1981, l'Aston Martin DB5 de Goldfinger 1964 était toujours considérée comme le véhicule le plus célèbre de la série et il a donc été décidé de réintroduire une Aston Martin dans Tuer n'est pas jouer. Selon le superviseur des effets spéciaux John Richardson, la décision de faire apparaître une nouvelle Aston Martin a été prise tardivement dans la production et il a alors été difficile d'obtenir un véhicule. Sachant qu'il y avait une liste d'attente de 18 mois pour obtenir l'Aston Martin V8 Vantage Volante, l'équipe du film a acheté trois modèles d'occasion pour le tournage. L'un d'eux était équipé de gadgets et un autre a été utilisé pour filmer la séquence de poursuite en Autriche. Un autre modèle sans modification a servi au tournage des scènes avec l'acteur Timothy Dalton et la troisième était surnommée "voiture à effets spéciaux" car elle était équipée de missiles et de fusées. Pour Tuer n'est pas jouer, 11 voitures au total ont été utilisées mais seules les trois susmentionnées pouvaient vraiment être conduites, les autres étant des maquettes en fibre de verres produites aux studios de Pinewood, à l'exception d'une qui n'était guère plus qu'un châssis orientable sans moteur. Dans la partie où Bond conduit la V8 pour se rendre au manoir, Dalton conduisait un modèle décapotable qui appartenait à Victor Gauntlett, le président d'Aston Martin Lagonda. Le même modèle de l'Aston Martin V8 Vantage Series II conduit par Dalton a ensuite été utilisé à nouveau dans Mourir peut attendre, bien qu'aucun gadget n'est utilisé dans ce film. Gadgets[] Mitrailleuses - Deux missiles sont cachés derrière chacun des feux avant et sont armés/désarmés par des interrupteurs dissimulés dans l'accoudoir central. L'angle de tir est ajusté par un commutateur coulissant de la bouche d'aération et le tir est effectué par un commutateur dissimulé dans l'allume-cigare. Bond s'en est servi pour faire exploser un barrage installé par le KGB. Affichage tête haute - En conjonction avec le système de missiles, une commande de guidage des missiles s'affichait par surimpression sur le pare-brise. Les détails comprenaient la distance et l'élévation de la cible, la vitesse de la voiture, le temps pour atteindre la cible, la distance de sécurité, la température ambiante et deux réticules de visée réglables. Cette fonction était dirigée avec les commandes du chauffage de la voiture. Lasers de découpe - Dissimulés dans les moyeux des roues avant bâbord et tribord, des émetteurs laser sont capables de découper le châssis de tout véhicule qui se place à côté de la V8. Inspiré des lames de char rétractables de l'Aston Martin DB5, ce mécanisme a été utilisé pour paralyser un véhicule du KGB qui poursuivait Bond. Patins latéraux escamotables - Q et ses ingénieurs ont équipé la V8 d'un ensemble de skis métalliques rétractables qui sont logés dans le bas de caisse et peuvent ainsi permettre à la voiture de skier sur de la neige. Pneus à clous - Des clous rétractiles à longueur ajustable ont été intégrés dans les pneus de la voiture. Les degrés d'adhérence peuvent être contrôlés grâce à un interrupteur à glissière sur le tableau de bord. Moteur de fusée - La voiture est également équipée d'un moteur à fusée arrière à carburant à forte teneur en octane permettant d'obtenir une courte poussée de vitesse. Il était dissimulé derrière la plaque d'immatriculation arrière, qui se relevait et se rétractait dans la carrosserie de la voiture. Cette fonction est basée sur un dispositif réel de la fin des années 1960, l'essieu à turbine-fusée breveté par Turbonique[1]. Scanner radio - Un autoradio/lecteur de cassettes Philips DC954 modifié, le scanner radio était capable d'écouter les fréquences radio civiles, policières et militaires. Châssis renforcé - Le châssis de la Vantage a été renforcé pour résister aux impacts de la plupart des armes à feu conventionnelles. Le pare-brise arrière est également à l'épreuve des balles. Système d'auto-destruction - Comme la Lotus Turbo Esprit de Rien que pour vos yeux, la V8 Vantage est équipée d'un mécanisme d'auto-destruction. Il est armé par un interrupteur caché dans la console centrale. Images[] Bond arrivant au debriefing au volant de la V8 étant dans le laboratoire de V8 étant à et Kara s'enfuyant dans la utilisant le laser de la V8 contre une voiture du V8 explosant après que Bond ait enclenché le mécanisme d'auto-destruction. Référence[] ↑
AstonMartin oblige, cette vente Bonhams accueillera également quelques modèles rappelant la saga du célèbre agent secret 007, à l'image d'une DB5 de 1965 (« Goldfinger », « Casino Royale
22 mai 2019 3 22 /05 /mai /2019 1544 Aston Martin, en collaboration avec EON Productions et Metro Goldwyn Mayer Studios, a tenu à célébrer le 50ème anniversaire du film Au service secret de Sa Majesté en développant une édition spéciale de son modèle DBS Superleggera. Cette Aston Martin DBS Superleggera a tout d'abord été revêtue d'une livrée vert olive similaire à celle de l'Aston Martin DBS conduite par Bond dans le film, avant de se voir équipée d'éléments de carrosserie réalisés en fibre de carbone, ainsi que d'une grille de calandre et de jantes spécifiques. Dans l'habitacle, les designers ont ensuite opté pour des finitions en cuir noir rehaussées d'Alcantara gris comme dans le modèle DBS de 1969 et de touches de couleur rouge, ces dernières rappelant la boîte à gants du véhicule original qui abritait le fusil à vue télescopique. Sous le capot de cette DBS Superleggera OHMSS, on retrouvera enfin sans surprise le bloc V12 litres biturbo de 725 ch et 900 Nm, qui propulse le modèle de 0 à 100 km/h en secondes avant d'atteindre 340 km/h en pointe. Cette DBS Superleggera OHMSS sera produite en cinquante exemplaires seulement, facturés 300 007 livres l'unité, soit un peu plus de 340 000 euros. Published by
Làoù la DBS renouvelle complètement la gamme Aston Martin, c'est au niveau de son dessin, beaucoup plus moderne, beaucoup plus latin, voire même américain via la ligne fastback. Si elle eut du mal à séduire les aficionados de la marque, elle connut un franc succès médiatique car conduite par 007 dans Au Service Secret de sa Majesté, mais surtout par Roger Moore en tant
"Meurs un autre jour" Bollinger, Omega, Aston Martin... James Bond est le roi du placement de produit Le film "Meurs un autre jour " est diffusé ce dimanche à 21 heures sur France 2. Montage Le HuffPost / Sony Pictures Releasing France James Bond est le roi du placement de produit. Montage Le HuffPost / Sony Pictures Releasing France CINÉMA - Tous aux abris, l'homme sandwich le plus classe du monde est de retour. Diffusé sur France 2 ce dimanche à 20H55 "Meurs un autre jour", le 20e film Jams Bond, promet une nouvelle fois d'inonder de produits nos télévisions, tant la série produite par la famille Broccoli s'en est fait une spécialité depuis de nombreuses années. Le plus célèbre des agents au service secret de sa Majesté démarche tous azimuts pour intégrer des marques dans ses films. Un marché juteux, puisqu'il rapporte à chaque opus une centaine de millions de dollars aux studios, qui réinvestissent intégralement ces recettes dans le budget promotion du film. De la pub pour se payer de la pub en somme... 007, c'est d'abord le trio Bollinger-Omega-Aston Martin Chaque film James Bond fonctionne de paire avec le couple champagne-montre-voiture. La maison de champagne Bollinger y tient une place remarquée depuis 1973 et "Vivre et laisser mourir", avec Roger Moore dans le rôle de l'agent 007. Et la marque y tient presque un rôle principal. En 2002, dans "Meurs un autre jour", Pierce Brosnan réclame une bouteille de Bollinger après avoir été libéré d'une prison nord-coréenne. Ah, le fameux flegme britannique... La montre apparaissant au poignet de James Bond est quant à elle dévolue à l'horloger suisse Omega groupe Swatch depuis 1995 et la sortie de "GoldenEye". Auparavant, c'est Rolex qui l'accompagnait dans ses aventures, plus conformément aux détails donnés par Ian Flemming dans ses romans. Pour les voitures du héros, la sélection est très disputée. Traditionnellement au volant d'une Aston Martin depuis "Goldfinger" 1964, l'espion britannique a "commis" quelques infidélités à la marque en s'essayant tour à tour à des Bentley, Ford, Lotus, Toyota voire même Renault et Citroën! Rappelez-vous la 2CV de "Rien que pour vos yeux" 1981... La plus grosse entorse à la célèbre Aston Martin DB5 voir ci-dessous fut le mariage avec BMW qui dura le temps de trois films 1995-1999, vite réparée avec le retour de la marque symbole dans "Meurs un autre jour". Bettmann Archive Sean Connery, le premier James Bond, et sa mythique Aston Martin. Bettmann Archive Voilà pour les marques principales qui sont aujourd'hui inséparables de la franchise. Mais c'est seulement la partie émergée de l'iceberg. D'autres bénéficient d'un statut de partenaire, afin d'utiliser le personnage de James Bond sur leurs produits. Ainsi, elles s'engagent à investir dans la promotion du film, souvent dans des opérations de marketing sur leurs points de vente. Parfois sans même apparaître directement dans le film. Ce dispositif permet de démultiplier les efforts des distributeurs du film, de toucher d'autres publics. Ford, Phillips, Gillette, Coca-Cola, Yves Saint-Laurent, Tom Ford, Perrier, l'historique vodka Smirnoff ou encore la compagnie aérienne Virgin Atlantic font parties de ceux-là. Dans "Goldeneye", on se souvient de cette course-poursuite d'anthologie dans laquelle Pierce Brosnan conduit un char russe et qui se termine avec l'explosion d'un camion remplit de bouteilles Perrier voir la vidéo, à 3'30" 160 millions de dollars pour "Meurs un autre jour" Les marques qui jouent le jeu à fond -comprenez qui signent le plus gros chèque- se retrouvent ainsi étroitement associées à l'univers de James Bond, très valorisant pour elles. Dans "Demain ne meurt jamais" 1997, BMW apparaît par exemple pendant 17 minutes, soit 15% du film. Dans "Skyfall" 2012 une Heineken aura l'honneur d'être réclamée au moins une fois par Daniel Craig... Pour "Meurs un autre jour", le total des contributions des partenaires associés s'est élevé entre 120 et 160 millions de dollars, un record, et tout cela pour alimenter le seul budget promotionnel du film. Ce dernier opus avec Pierce Brosnan est le plus "kiss kiss bling bling" de la série, ce qui obligea EON productions propriété de famille Broccoli à alléger les deux derniers épisodes tout de même 100 millions de dollars de pub associée. Seule une petite dizaine de placements produits apparaissent dans "Casino Royale" 2006 et "Quantum of Solace" 2008. Comptez en moyenne un chèque de 10 millions de dollars de la part de chacun. En France, on est encore loin de ce business lucratif. Selon l'Express, le coût d'un placement produit dans un film français oscille entre 3000 et euros. Quel intérêt donc pour ces marques, qui ne peuvent absolument pas mesurer leur retour sur investissement? La franchise James Bond prétend toucher 10% du globe et incarne une certaine idée du luxe. S'associer avec l'agent 007 permet donc de grapiller quelques miettes de l'aura bondienne... A être exceptionnel, marques d'exception pourra-t-on dire, mais n'existe-t-il pas un risque de dénaturer le personnage original? Pas si sûr... Déjà dans ses romans, Ian Flemming utilisait largement le "name dropping", en se servant de noms de marques Bentley, Dunhill, Dom Pérignon, Leica, Turnbull & Asser, Morland Specials... Au risque de dénaturer James Bond? Après tout, que l'agent double zéro téléphone avec un mobile plutôt qu'un autre n'influencera pas les choix du réalisateur ni ne gâchera le plaisir du public. Sauf que le placement de produits va bien au-delà. British Ariways, par exemple, présent dans un James Bond, pose ses exigences pas de films "comportant une crise aérienne crash ou prise d'otages par exemple, contenant des éléments de violence traumatique, contenant des sujets politiques sensibles ou controversés, ou ayant un impact négatif sur notre marque". De là à couper une petite scène qui empêcherait d'obtenir des sponsors... on nous accordera le permis d'en douter. Les réalisateurs commencent d'ailleurs à craindre pour leur indépendance artistique, comme le montre une étude réalisée en 2011. L'un d'eux, Philippe Lioret, témoigne "Quand je vois les films de James Bond, je trouve ça ridicule, ce sont des vitrines animées, ça n‟a rien à voir avec le cinéma, enfin avec l'idée que je m'en fais en tout cas". D'autres trouvent en revanche qu'il s'agit d'une façon plutôt intelligente de boucler un budget... A condition, bien sûr, de ne pas aller trop loin. L'opus "Meurs un autre jour" Die another dayen anglais avait été ironiquement surnommé "Buy another day" Achète un autre jour. L'exception reste, comme toujours, Apple non seulement la firme à la pomme refuse catégoriquement de payer le moindre dollar pour apparaître dans un film mais ils ne donnent jamais les produits. A la rigueur, ils peuvent les prêter pour le tournage d'une scène. Il faut croire que l'image de leur marque est supérieure à celle du film... À voir également sur Le HuffPost
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